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Première Aiguade.



outefois, la peur que j’avais des Maures était si grande, et les appréhensions que j’avais de tomber entre leurs mains étaient si terribles, que je ne voulus ni ralentir, ni aller à terre, ni laisser tomber l’ancre. Le vent continuant à être favorable, je naviguai ainsi cinq jours durant ; mais lorsqu’il eut tourné au Sud,