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eusse environ trois douzaines parmi les hardes des marins du navire, où se trouvaient aussi quelques grosses houppelandes de matelots, que je laissais en réserve parce qu’elles étaient trop chaudes pour les porter. Bien qu’il est vrai les chaleurs fussent si violentes que je n’avais pas besoin d’habits, cependant je ne pouvais aller entièrement nu et quand bien même je l’eusse voulu, ce qui n’était pas. Quoique je fusse tout seul, je n’en pouvais seulement supporter la pensée.