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pour échapper à ce charme, et penser encore à Castor. (Je l’avais oublié depuis un bon moment.)

Enfin, il faut dire, pour conclure, ce que cette musique conserve de fine élégance, sans jamais tomber dans l’afféterie, ni dans des tortillements de grâce louche. L’avons-nous remplacée par le goût du joli, ou nos préoccupations de serrurier byzantin ?