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commence l’obligatoire dislocation… ; la deuxième partie, c’est quelque chose comme le laboratoire du vide… ; la troisième partie se déride un peu dans une gaieté toute puérile, traversée par des phrases de sentimentalité forte ; le choral s’est retiré pendant ce temps-là, — c’est plus convenable — ; mais il reparaît, et la dislocation continue, ça intéresse visiblement les spécialistes, ils s’épongent le front et le public demande l’auteur… Mais l’auteur ne vient pas. Modeste, il écoute des voix certainement « autorisées » : elles l’empêchent, il me semble, d’entendre une voix plus personnelle.