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Metz donc ta cuve En un fournel,
Au vray mercure Qui se faict bel
Qu’a faict nature. De jour en jour
Avec son pere Par vray amour
Faict son repaire, Sans nul secour,
Ou il prospere: Et se fixe
C’est pour perfaire Tout propice
Les imperfaictz Sans espice,
Ordz et infectz. Pour guerir
Mais fault que face Ton esprit
Que le deface Sans peril
De prime face: S’ainsi le fais
Pour le refaire Tous les infectz
Et satisfaire Seront perfectz.
A ton affaire. Dieu te doint grace
C’est le subject Et peu d'espace
Mys au vaissel Que le tout face.


FIN.