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facile : " c’est en leur nom que fut proclamée cette déplorable constitution civile du clergé ; ... etc. "
Voilà ce qu’on est obligé d’avouer, alors même que l’on prend à tâche de calmer les fausses inquiétudes des catholiques. Et ces maximes décréditées par l’abus qu’on en a fait, ces maximes qu’on invoque pour nous précipiter dans le schisme, ces maximes ruinées dans l’esprit des vrais fidèles, on fonde une école pour en conserver précieusement la tradition, et l’on assure que cette école, appropriée à nos besoins et à notre situation présente, prépare à notre Eglise le plus consolant avenir, et qu’à la seule annonce d’un pareil établissement, la France religieuse a tressailli d’espérance !