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situation présente et tant que les évêques ne prendront pas des mesures pour s’unir, ni faire entendre ses justes plaintes, ni exposer ses besoins, ni réclamer ses droits.
Et encore, telle qu’elle est, redoute-t-on son influence. Quelle que soit la nécessité d’augmenter le nombre des siéges, nécessité reconnue par la commission de la chambre des députés, à qui l’on dut la loi du 4 juillet 1821, on s’obstine à priver la France de ce puissant moyen de régénération. Des villes ont offert de prendre à leur charge une partie des dépenses qu’occasioneroient de nouvelles érections, on a repoussé leurs offres : et