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Dans une autre lettre, adressée, l’année suivante, aux évêques et archevêques du royaume, on lit ces paroles : " il n’est besoin ni de raisons, ni d’aucunes recherches ; il ne faut que lire la constitution pontificale, qui seule suffit par elle-même pour décider toute la question. "
Au temps de Richelieu, la doctrine de l’Eglise de France n’avoit pas encore changé. Il dicta lui-même à Richer la rétractation où ce docteur déclare, " qu’il se soumet au jugement de l’Eglise catholique romaine et du Saint-Siége apostolique, qu’il reconnoît pour la mère et la maîtresse de toutes les Eglises, et pour juge infaillible de vérité. "
" L’opinion qui attache l’infaillibilité au pontife