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roses, et paroissent être le siége de la pudeur. Son menton arrondi est agréablement creusé dans son milieu. Son cou mince et délié, s’élève sur ses épaules rondes ; sa gorge est blanche et délicate. Sa voix et son parler sont plus agréables que dans l’homme. Sa poitrine est surmontée de deux demi-globes fermes et rebondissans. Son ventre est arrondi. Ses côtes sont souples, son dos est plat et relevé. Ses bras sont longs, ses mains bien faites. Elle a des doigts délicats. Ses hanches et ses cuisses sont fermes. Elle a les jambes charnues. Les extrémités des mains et des pieds arrondies, et tous ses membres pleins de sucs (5).

VII.

Louanges données à la beauté de la Femme.

Ajoutez encore que son marcher est modeste, ses mouvemens plus dé-