{{Table|largeur=36em|largeurp=50|indentation=-1|titre=Jefferson se dit et se croit dégoûté de la politique. — Il reste cependant un spectateur passionné des événements et un fauteur violent d’opposition. — Son secret langage sur Washington et sa politique. — Publication de sa lettre à M. Mazzei. — Jefferson perd l’estime de Washington. — John Adams est nommé président et Jefferson vice-président. — Ils cherchent à s’entendre, mais en vain. — Violence et grossièreté des mœurs politiques à cette époque. — Manœuvres indignes dirigées par les républicains contre Hamilton. — Vengeance des fédéralistes. — Jefferson touché au vif par leurs représailles. — Il exprime la crainte que la brutalité des journaux ne dégoûte de la vie publique les âmes susceptibles et fières. — Voies de fait au sein du congrès. — Les progrès du parti républicain sont moins rapides que Jefferson ne l’avait espéré. — La querelle entre les États-Unis et le Directoire amène une réaction violence en faveur des fédéralistes. — Ils en abusent. — L’alien act et le sédition act. — Fermeté et sang-froid de Jefferson. — Il prépare les résolutions par lesquelles la Virginie et le Kentucky prononcent l’annulation de l’aliéna act et du sédition act. — L’opinion est ébranlée. — John Adams renoue brusquement des relations pacifiques avec le Directoire. — La discorde dans le camp fédéralistes. — Élection de 1801 pour la présidence. — Défait du parti fédéraliste. —