Page:De Staël - Corinne ou l'Italie, Tome I, 1807.djvu/212

Cette page a été validée par deux contributeurs.
208
CORINNE OU L’ITALIE

velle; mais il se persuada qu’elle l’avait reçu chez elle le matin du jour où il n’avait pu lui-même être admis ; et trop fier pour exprimer un sentiment de jalousie, il satisfit son mécontentement secret en dénigrant la nation pour laquelle il voyait avec tant de peine la prédilection de Corinne.