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CONSIDÉRATIONS

que je finis mes Considérations historiques. Et en effet il n’y a plus de France, tant que les armées étrangères occupent notre territoire. Tournons nos regards, avant de finir, vers les idées générales qui nous ont servi de guide pendant le cours de cet ouvrage ; et présentons, s’il nous est possible, le tableau de cette Angleterre que nous n’avons cessé d’offrir pour modèle aux législateurs François, en les accusant toutes les fois qu’ils s’en sont écartés.

    vrage. Ce travail est d’une nature trop délicate pour que les éditeurs puissent se permettre d’y suppléer.

    Ce chapitre n’est, comme on voit, qu’une ébauche. Des notes à la marge du manuscrit indiquoient les faits marquans dont madame de Staél avoit l’intention de parler, et les noms honorables qu’elle vouloit citer.
    (Note des éditeurs)