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CONSIDÉRATIONS

ne cessent de l’injurier à présent, en se faisant bien rendre compte, j’imagine, de la hauteur des rochers qui le renferment. Mais on ne peut se taire sur Bonaparte, lors même qu’il est malheureux, parce que sa doctrine politique règne encore dans l’esprit de ses ennemis comme de ses partisans. Car, de tout l’héritage de sa terrible puissance, il ne reste au genre humain que la connoissance funeste de quelques secrets de plus dans l’art de la tyrannie.

FIN DU TOME SECOND