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DE LII’ALLEMAGNE

qu’il y avoit de brillant et de solide dans les écrivains français à cette époque ; néanmoins Frédéric auroit contribué plus efficacement encore à la gloire de son pays, s’il avoit compris et développé les facultés particulières à la nation qu’il gouvernoit. Mais comment résister à l’influence de son temps, et quel est l’homme dont le génie même n’est pas à beaucoup d’égards l’ouvrage de son siècle ?