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On le voit aujourd’hui au musée de Parme (Academia delle Belle Arti) dans un salon à part, sanctuaire réservé à cette incomparable création.


Lorsqu’on lève la tenture de soie qui, par respect, couvre l’œuvre immortelle du maître, on est transporté d’admiration.

La beauté des formes, la grâce, l’élégance égalent la grandeur de la conception et la magie du coloris.


Les mains de l’Enfant Jésus se jouant avec la chevelure d’or de Marie, sont quelque chose de divin.

Annibal Carrache disait qu’il