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FALARDEAU.

Un jour qu’il passait tranquillement dans une rue, une bande de révolutionnaires se jeta sur lui, et l’accabla de coups aux cris de :

Abasso Tedesco !

À bas l’Autrichien !

Un chapeau de paille qu’il portait, par mégarde, avec un ruban noir, fut le prétexte de cette brutalité.

Le jaune et le noir sont les couleurs autrichiennes.


Après la bataille de Novare, il fut réintégré dans sa place à l’Académie.

Dans l’intervalle, ses deux excellents amis, les professeurs Gazzarini