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FALARDEAU.

çante, mais que des malheurs avaient ruinée depuis, et exilée de sa patrie.

Une circonstance vint alors enflammer plus que jamais l’enthousiasme de notre peintre.

M. Hamel qui étudiait depuis quelque temps la peinture en Europe et y perfectionnait son beau talent, était sur le point de s’en revenir au pays, lorsqu’une souscription nationale de £500, vint lui permettre de compléter des études commencées avec tant de succès.

— « Quand me sera-t-il donc donné, à moi aussi, de mériter un tel honneur ! » se disait le jeune