6*i0 TABLE
(12.97). De la vitesse comparative des hommes et des chevaux employés les uns et les autres a porter des fardeaux. (î^gO). Du cheval employé à tirer.
(1290). Utilité de la charge à dos pour faciliter le tirage.
(i3oo). De la meilleure disposition des traits pour le tirage.
(i3o 1). De l'effort qui tend à abattre les chevaux aux changements de pente , et de l'influence de la longueur des traits dans ce cas.
(i3o/ ( ). Application des équations résultantes des recherches précédentes.
(l3o5). Du cheval qui tire en parcourant la circonférence d'un cercle ; avan- tage qu'on obtient en donnant au cercle le plus grand rayon possible.
(1 Î07). De l'effort qu'un cheval peut faire journellement pendant un certain nombre d'heures. Il seroit à désirer qu'on fît de nouvelles expériences sur cet . objet.
(i3o8). De l'emploi du poids du cheval pour mouvoir les machines.
Du fluide élastique produit par Veau réduite en vapeur, et de l'application de ce Jluide au mouvement des machines.
(tSoç,). Raisons qui ont engagé à renvoyer à ce chapitre les recherches sur l'action de l'eau réduite en vapeur.
(i3io). Détails qu'il contient sur le mécanisme des machines à feu.
(i3i 1). Des découvertes modernes sur la physique du feu ; do la lumière, du calorique et de leurs différences.
(i3ia). Le calorique est un fluide éminemment élastique. Comment ses com- binaisons avec différents corps expliquent des phénomènes qu'on n'avoit point encore expliqués.
(i3i4). Comment le calorique réduit les différents corps en gas ou fluides aériformes.
(i3i.O). L'élasticité du calorique produit en plus grande partie celle des gas.
(1316) . Opposition continuelle entre l'effort expansifdu calorique et l'effort aggrégatif de la cohésion; effets de cette opposition.
(1317) . Le calorique n'a à surmonter dans les substances liquides que la pres- sion de l'atmosphère ou d'un fluide élastique quelconque.
(i3iG). Conséquence do la proposition précédente; expériences de MM. La- voisier et de Luc a l'appui de cette conséquence.
( i3 19). Autres conséquences de la même proposition.
(i3ai ). Comment la théorie du calorique s'applique à l'expansion de l'eau ré- duite en vapeur.
(i322). Conformité de la théorie et des expériences faites avec l'appareil pré- cédent.
(i3a4). De la mesure absolue de la force expansive du gas aqueux. (1329). Travaux de Savery sur les machines à fou.
(t33o). Il est soupçonné d avoir puisé ses idées dans l'ouvrage du marquis de iWorcester.
(1331) . Description d'une machine à feu, de Savery; sa ressemblance avec celle décrite par le marquis de Worccster.
(1332) . Autre machine de Savery, plus simple que la précédente.
(i334> Moyens employés postérieurement pour perfectionner les machines précédentes.
(i335). Travaux de M. Papin sur les machines à feu : ce savant est principa- lement redevable de sa célébrité à son digesteur.
(i336> Inventions de MM. Amontons et Dalesme sur les machines à feu.
(1337). Perfection ajoutée à la machine à feu , pour rendre indéfini son usage qui, auparavant, se bornoit à l'élévation de l'eau.
