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DES MATIERES. 609

(90a). Cas où le fluide et la difiérencio- différentielle sont tons les deux en mouvement.

(r>o3). De la pression d'un rectangle à base horizontale et d'une hauteur infi- niment petite.

Explication de la manière dont les dénivellations sont produites , et détermi- nation de leur hauteur.

L'existence de cps dénivellations est constatée par des expériences journalières ; modifications qu'il faut apporter à la détermination précédente de leur étendue.

Détermination des pressions horizontales antérieure et postérieure, qu'é-

Srouve, dans une direction quelconque, un parallélogramme rectangle, dont eux côtés sont horizontaux, et qui se ment dans un lluide. (00.9). Cas où le côté supérieur du parallélogramme est à la surface supérieure du fluide.

(.910). Cas où le parallélogramme est entièrement plongé dans le lluide. (912). Observation sur la solution du cas précédent. ô)i3). Cas où le fluide et le plan sont tous deux en mouvement. (914)- Manière de déterminer la pression horizontale qu'éprouve une surface quelconque qui se meut dans un fluide. Valeur de cette pression. Cette même valeur réduite en série.

(918) . Cas où l'on peut négliger les termes de la série , h partir du second in- clusivement.

(919) . Comment on fait entrer la dénivellation dans les valeurs précédente*.

(920) . Comment on détermine la résultante des pressions qui agissent sur les différentes parties de la surface d'un corps.

(921) . Application à un parallélipipede rectangle.

(922) . Cas où les faces antérieure et postérieure ont une inclinaison. (924). Cas où le solide est entièrement submergé.

(926) . Formules de pression dans lesquelles on fait entrer la distance des faces antérieure et postérieure.

(927) . Ce que devient cette formule dans le cas où les deux faces antérieure et postérieure coïncidant ensemble , le solide devient un plan.

Expériences qui confirment la théorie précédente.

(928) . Expériences de don George Juan sur la pression d'une planche verticale

exposée à l'action d'un courant.

Application des formules de pression k ces expériences.

(929) . A quoi il faut attribuer l'excès des pressions calculées sur les pressions

observées.

(930) . L'expérience et la théorie s'accordent sur le rapport des pressions.

(931) . La pression observée est à-peu-près moindre d'un tiers que la pression théorique.

(932) . Expériences de M. J. Smeaton sur la force des fluides pour faire tour- ner les roues à aubes ; machine dont il s'est servi.

(o33) Détermination théorique du plus grand effet de la machine de M. Smea- ton , et accord de cette détermination avec l'expérience.

Autre conformité de la théorie de don George Juan avec les expériences de M J. Smeaton.

Exposition de la théorie ordinaire du choc et de la résistance.

(934). Recherche des formules ordinaires de pression par une méthode analo- gue à celle employée dans la théorie précédente du choc des fluides. Tomcl^ Hhhh