DES MATIERES. 601
(63m). Considérations sur les logarithmes hyperboliques qui entrent dans cette équation, et nouvelle formule qui n'exige que l'usage des logarithmes Ordinaires,
(633). La même formule, dans laquelle le coefficient constant est déterminé par nue « aepérience faite une fois pour toutes; conditions que suppose l'usage du cette formule.
Détermination numérique du coefficient constant dans nno hypothèse particulière de pression et de température de l'air.
Comparaison de la dernière formule avec < -elle de M. Bougucr.
(636). Difficulté de déterminer la valeur du coefficient constant; obstacles qui s'opposent à cette détermination.
(6J7). La température inégale de l'air, à différentes hauteurs, est la source d'irrégularité dans les mesures prises avec le baromètre, - qui a le pins occupé les physiciens; loi que suit cette inégalité de température à différentes hau- teurs ;' auteurs nui ont travaillé à reculier les erreurs provenantes de l'inégale température de l'air.
Formule corrigée, de M. du Luc.
((>3,>i). Formule corrigée, de M. Trembîey.
(6*40). Application des deux formules précédentes h des observations faites par MM. de Saussure, et Lévesque.
La formule de M. Trembley plus exacte que celle do M. du Luc; exactitude de ses expériences sur la dilatation de l'air par la chaleur.
(641). La formule, sans correction, approche plus de la mesure géométrique de M. de Saussure que les deux formules précédentes.
(>• » ■)• Les densités île l'air peuvent être supposées décroître en progression géométrique) causes dont le concours établit cette progression.
Idem. Ce qui résulte de la propriété précédente ; du module barométrique et de son utilité ; application (l'une valeur particulière de ce module à l'expé- rience de M. de Saussure.
(ti'4.}). Influence de la température sur le baromètre lui-même ; expériences pour connoître les erreurs qui peuvent en résulter.
(6*44). Le baromètre ne peut pas remplacer les niveaux ordinaires; mais son usago est utile quand on n'a pas besoin de la plus grande précision.
Des machines à élever Veau en général) et de la statique des
pompes en particulier.
(^45). Liaison de la théorie avec les matières précédemment traitées; étendue de cette théorie; nécessité de la faire précéder par des considérations sur les machines à élever l'eau , en générât
(6*47.) L'élévation de l'eau constitue l'objet principal ou accessoire de pres- que tous les travaux d'architecture hydraulique.
((•48). Des machines les plus simples qu'on puisse employer pour élever l'eau, et dans lesquelles les efforts du moteur et de la résistance sont égaux.
(040). Première circonstance où l'on emploie ces machines simples en ren- dant l'effort du moteur moindre que celui de lu résistance.
(fîjo). Méthode pour ajouter encore une perfection déplus à ces machines, et rendre leur produit continu.
(6'.'ji ). Machines exécutées d'après cette méthode.
(6:>2). La théorie de toutes les machines- précédentes dépend presque en entier de la mécanique des corps solides.
(663). Perfection et modification de ces machines; chapelets verticaux. (6 14). De la pompe foulante; 6011 analogie avec la pompe à chapelet. Tome J. Gggg
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