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i*7» TABLE

(21). Application de la théorie précédente au mouvement des graves mus près

la surface de la terre.

(■->.-) Du mu u vement uniformément accéléré lorsqu'il y a une vitesse ini- tiale.

fa3j Deuxième question fondamentale sur la théorie des mouvements varies.

Solution de cette question.

( H 1 - Transformation des équations finies du mouvement varié en équations différentielles.

(25) . Ce qu'on doit entendre par la quantité y dans ces équations.

Idem. Le mouvement uniformément varié peut servir à comparer entre eux les mouvements variés en général.

(26) . t> est constant dans les mouvements uniformément variés. Sa valeur ab- ggjtjâ dans le cas de la gravité.

("7). Quelle est la ca-jsc du mouvement?

La solution de cette question est impossible et inutile : la connoissance et la

mesure des effets est In seule chose qui nous intéresse.

( -.».<) ). Un corps en repos ou en mouvement peut il . par lui-même , et indépen - damment de tonte cause étrangère, changer son état;

(:?o). Première loi. Lorsque le corps est en repos.

(3 i ). Deuxième loi. Lorsque le corps est en mouvement.

L> "iiionstratioii de cette loi.

(38). Ce qu'on doit entendre par les mots équilibre et quantité de mouve-

rnrnt.

Idem. Circonstance du choc, lorsqu'il n'y a pas équilibre. 1". Lorsqu'un des corps est en repos.

"\ . ■ commune, apiès le ihoc, lorsque le corps choqué est en repos.

". Lorsque les deux corps sont en mouvement , et allant en sens contraire.

Vitesse commune après le choc, lorsque les deux corps vont en sens con- traire.

5°. Lorsque les deux corps sont en mouvement, et vont dans le mftme sens. Vitesse commune après le choc, lorsque les deux corps vont dans le même

sens.

Démonstration immédiate du troisième cas.

Idem. La théorie du choc des corps peut servir à donner un sens raisonnable

à cette expression , l'inertie est proportionnelle à la masse.

(,|q) Ce qui a lien, lorsque, dans la théorie du choc des corps , on considère des vitesses infiniment petites.

Idem. Détermination du sens qu'on doit attribuer, dans le cours de ce Traité, aux mots force , puissance , force motrice et force accélératrice.

Idem. Comparaison des effets d'une force et de ceux d'une puissance dans le p- emier instant de son action.

Idem. Ce qu'on doit entendre par le mot pression.

Idem. Effet d'une force opposée A une puissance dont l'action se continue.

Exemple des effets de cette opposition pris dans la nature.

(qi) Force des corps en mouvement, considérée relativement h la somme des obstacles qu'Us peuvent vaincre, laquelle est égaie a Ja quantité de mou- vement.

Idem. La même force considérée relativement au nombre des obstacles, qui est proportionnel au quarré de la vitesse quand les obstacles sont égaux.

Idem. Disputes des mathématiciens sur la mesure de la force pour laquelle on peut adoptor l'une ou l'autre des considérations précédentes.

Cette dispute n'est qu'une dispute de mots ; la perfection des sciences tient à celle des signet. [