458 ARCHITECTURE HYDRAULIQUE.
(fig. 96, n° 5), et prenant pour r le rayon moyen arithméti- que entre ceux des cercles CQC et BQ'B' (n° j ); dans cette hy- pothèse, toute la quantité qui multiplie j) sera constante; on fp — P ; et l'équation de l'art, précèdent se changera
aura fp — r ; et 1 équation de 1 art. précèdent se changera en M = — 5- r- 1
W [«rung. C - /•(«•r' + A'ung.'C);] [ nV A' Ung.' C ]| V
équation qui n'est pas rigoureuse , mais assez exacte pour la pratique.
1006. Dans le cas de la vis à filets quarrés , on a £ = 90°, et tang. € = 00, et l'équation précédente devient
M rV(k+fmr)
Telle est l'équation qu'on donne ordinairement pour le frot-
di fié rente.
1087. Si on suppose le frottement nul, ou f— o, l'équation précédente devient M = — ; c'est la même équation donnée art. (34i.)
1088. La théorie que nous venons d'exposer est suffisante pour tous les besoins de la pratique : mais les formules qui en dérivent, renferment des quantités relatives à l'adhérence, au frottement et à la roideur des cordes, qu'il est nécessaire de dé- terminer; c'est ce que nous allons faire dans le chapitre suivant, en rapportant une suite d'expériences, dont les motifs et les détails se concevront parfaitement , et seront examinés avec plus d'intérêt, lorsqu'on aura étudié d'avance la théorie générale. C'est le motif qui nous a engagés à exposer d'abord cette théorie.
Expériences sur le frottement et sur la roideur des cordes.
r iriv r /dTm'c 1089. L'académie des sciences a successivement proposé en dn mchtoH 1779 ct *7& l t pour objet de concours, la théorie des machines »Hn t : * , rt simples, en ayant ésard aux effets du frottement et de la roi- m. Coulomb, deur des cordages. Le prix, qui etoit double, a été remporte
Sar M. Coulomb, capitaine au corps royal du génie, ct aujour- 'hui membre de l'académie. Le .mémoire de M. Coulomb, qui est l'ouvrage le mieux fait ct le plus complet qu'on ait encore
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