3(^3 ARCHITECTURE HYDRAULIQUE.
culaires à la direction de ce mouvement se détruisent , puis- qu'elles sont égales et directement opposées. Quant à la face horizontale inférieure, elle n'éprouve qu'une pression verti- cale, de bas en haut, qui est détruite par le poids du parallé- lipipede. ,
Ainsi la résultante des pressions horizontales du parallélipi- pede est égale à la pression de la face antérieure , moins la pression de la face postérieure : car cette dernière pression doit être prise avec un signe contraire ; ce qui donne , pour la va- leur de cette résultante ,
H (J^r -H if) , ou ; n y (Jii +- £).
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c«*«nu'!iruw 9 22 « Si on supposoit que les faces antérieure et postérieure aMwn^mdL ont une inclinaison, toutes choses restant les mêmes d'ailleurs,
lidc eit entiè- rement
en faisant le calcul comme dans l'article précédent, et en resti- tuant sin. 0, on trouverait que la résultante de la pression qui agit sur le solide est égale à
923. On conçoit aisément que, dans les deux expressions précédentes, /* doit exprimer la distance de la surface du fluide a la face inférieure du solide , puisque les intégrales doivent être prises dans toute l'étendue des surfaces submergées. Câ*oùieit». 924. Le solide étant supposé entièrement submergé, lapres- '" t ut s i° n de sa face antérieure sera (914),
jgfc tèk ^^y"'* 1 H-
et celle de la face postérieure sera
- <rA [bz-+-îz* — tefeici±ffîs^ -+- s^H,
Retranchant celle-ci de la première, on aura, pour la résul- tante des pressions,
925. Lorsque 2, qui exprime la distance des faces supérieure et inférieure du sohde , sera petit par rapport à b , l'expression
précédente se changera en 4/ *^'7 in > .
926. Nous n'ayons, dans aucun des calculs précédents, fait
