384 ARCHITECTURE HYDRAULIQUE.
lions précédentes, on aura, pour la pression dans une direction quelconque (880 et 884),
895. Pour la pression horizontale dans un plan vertical pas-, sant par la direction précédente (885),
ià"= ïdzdk [(£-+-
896. Pour la pression verticale dans le même plan (889),
m"'= <T- dadg \(b -f- *)izt S**]*.
897. Pour la pression, dans la direction du mouvement, cette direction étant quelconque (880 et 890),
898. Laquelle pression , décomposée horizontalement , a pour valeur (891),
■ * m" = ïdzdk [(* *)*=!= ^r 1 ] 1 -
899. Et, décomposée verticalement, est égale à (892),
m"' = fdadg[(b + z)î± ]\
c/Sf'biË 9°°* 11 semble, au premier coup-d'œil, que la pression d"so°m e «j. U et doit être la même lorsque le fluide est en repos et que la cio l *S r 4": surface différencio- différentielle se meut, et lorsque le corps ÏÏLTpoTr". est en repos, et que cette surface se meut, toutes les autres cir- qtici ce caydif- constances étant les mêmes ; néanmoins , le mouvement du
fef* (Iccelm ou * * • 1 1
ie fluide « n re - fluide introduit une différence entre le premier et le second Pudîtt de ces cas, qui, quoique souvent assez légère pour être négligée cio^- «îiûcren- j ans j a p ratlcme ? ne doit pas être omise ici ; car les réflexions auxquelles elle donnera heu nous serviront ailleurs. Cette dif- férence vient de ce que, lorsqu'un fluide se meut, sa surface supérieure cesse d'être de niveau, et que la pression des molé- cules fluides ne doit plus s'évaluer pat leur distance verticale à cette surface supérieure, mais par leur distance perpendicu- laire.
Pour mieux entendre ceci, soit CI (fig. 160) la surface supé- rieure d'un fluide qui se meut d'un mouvement uniforme, et qui le conserve par la seule action de la pesanteur j les molécules