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38o ARCHITECTURE HYDRAULIQUE.
v a i»ar «ici* 87a. Qu'on imagine à présent que cet clément se meut per- S^^rrâ» pendiculairement a son plan (*) avec une vitesse et de ma- r,o - mitvn- niere qu'il ne rencontre le fluide qu'à sa partie antérieure; ce
tulle %" meut , * . »•! J •
P irpen4>cuUi- qu on peut concevoir, en supposant qu il se meut dans un petit puT ' * ,0 " canal où le fluide ne peut entrer que d'un côté ; alors le fluide tendra à jaillir avec une vitesse u ± c, suivant que l'élément de surface ira à la rencontre ou s'éloignera du fluide. Jl faudra donc, pour ce cas, substituer dans l'équation p =\ /«m 3 , à la vitesse m, la vitesse u rit v , ou y/(2?/*) rf= 9$ ce qui donnera, pour la pression , l'équation
8y3 p=2J v #[(af/*) f :±i']*.
£tt?v*të!! .^ 7 ^' ^ ^ aut se ra PP ener 9. ue /'•exprime un poids, c'est- à- si?u- iT 7 b dû" 6 (174) le produit de <p par une masse m; en sorte qu'on a
iioa une masse J) ==
"" côtés , imaginant ce côté projeté orthogonalement sur un plan vertical qui passeroit par la base aa, cette projection sera l'incrément de la hauteur verticale h ; ainsi -4^. sera la valeur du côté incliné à l'horizon du parallélogramme élémen- taire , dont la surface sera = u ; cette valeur , substituée dans l'équation de l'art. (874), la change en v«ieurd«i» 877. Supposons maintenant que l'élément ^~t- , étant tou- pre*iion per- » * j. . . pendicuUire à jours anime a une vitesse ^, ne se meuve pas perpendiculaire- u différencia- " , • i mm . » • r d.rreremieiw , ment a son plan, mais dans une direction qui tasse constamment îh 1 II C meuî un angle 8 avec son plan ; la vitesse v, décomposée dans le sens obliquement à <i e j a perpendiculaire à l'élément, sera v sin.ô, et pour avoir la ton plu. (*) En parlant d'un élément difTérencic-diiTérentiel de par son plan le plan dont cet élément Ui I partie.