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SECTION IV. DE LIIYDRODYNAMIQUE. 3jl

et nous allons passer aux écoulements par des tuyaux addition- nels dont la longueur est très petite par rapport à la hauteur de l'eau dans le réservoir.

840. On trouve dans l'ouvrage précédemment cité, de M. l'abbé Bossut , la table suivante , à laquelle nous avons couiemem par ajouté, comme à celle de l'art. (834), la quatrième colonne, ™ a^qucT'eû qui exprime le rapport entre les résultats de l'expérience et ^' unp * tU ceux du calcul.

Expériences relatives a l'è-

Hau teurs constantes de

Dépense» théorique.»

1 eau (uni le réservoir

en une minute , par

au-dessus de l'orifice

un orifiite d'un pouce de diamètre, exprimées

extérieur du tuyau , exprimée* eu pied).

en pouce» cube».

1

438l 6196 7 58 9

8 7 6B

9797 10702

11092

12392

2

3

î

6 l

9

i3i44

10

i3855

11

i453o i5i8o

12

i3

l5 797

i4

16393

i5

16968

Dépense» effective* , pendant le même temps , par un tuyau cylin- drique qui a un pouce de diamètre et doux pouces de longueur, ex- primées auisi en pouce» cubes.

353 9

5oo2 6126 7070* 7900 8654 9340 9975 10579 1 u5i 11693

12205

12699 i3i 77

l3Ô20

Rapport de» dépen- ses effectives aux dépenses théoriques

0,8l78l 0,80729

0,80724 0,8068l

o,8o638 o,8o638 0,80573 0,80496 0,80485 0,80483 0,80477 o,8o4o3 0,80390 o,8o3o2 0,80270

841. En comparant cette table avec celle de l'art. (834), on voit que les dépenses effectives sont constamment plus grandes, et que le rapport moyen des dépenses effectives, par de petits tuyaux additionnels, aux dépenses par des orifices percés dans de minces parois, to\ites les circonstances étant les mêmes, est celui de 81: 62, à très peu de chose près. Ceci confirme ce

Sue nous avons dit (801) sur la variation de la contraction ans les orifices auxquels on adapte un tuyau. Au reste , les dépenses faites parle même orifice sont toujours sensiblement proportionnelles aux racines quarrées des hauteurs; et comme, par des expériences rapportées dans l'ouvrage ci -dessus cité,

Aaa ij

Valeur de la plus grande contraction , déduite do ces expériences ,

3ui prouvent e plus que le» dépenses ob- servée» sont

HitrenHiffani le même rap- port que le» dépenses cal- culée».