3^4 ARCHITECTURE HYDRAULIQUE.
du piston , l'air naturel , renfermé dans l'espace e -+- iy, avant cette levée, au lieu de se dilater après cette levée, dans l'es- pace E -h sy, se dilate dans l'espace E -+- sy; on a donc (684)
- '= h* au ^ eu àex'= l ^ ' t y h, qui a lieu quand l'eau
s'élève.
Cette valeur h, et celle de y 1 — y, substituées dans
l'équation a;' -4- a — y'=z h, donnent h -h- a — y = h,
pour le cas où la pression h de l'air extérieur fait équilibre aux
pressions réunies A, et a — r> de l'air et de l'eau dans
l'intérieur de la pompe. En effet cette équation donne, pour la même valeur trouvée précédemment (688). Mais dans les cas où la pression h de l'atmosphère est moindre que la somme
ÉquaUon des pressions intérieures, on doit avoir i~*~/ r h-\-a — y = /* -h z.
•Tune combe 1 1 t+v J >
TLllLuTè. z étant la quantité dont la pression de l'atmosphère est surpassée Kuiuedc i cs- par la somme des pressions intérieures.
SneSjL ^ n construisant la courbe qui a pour équation h —
iaue mouler j •
îcau. y — z -t- a — h = o, et qui est toujours une section conique , vu qu'en chassant les dénominateurs variables, les produits ou les puissances des co - ordonnées y et z ne passent pas deux di- mensions, on aura sous les yeux tous les espaces où l'ascension de l'eau, par l'aspiration, sera possible, et ceux où elle ne peut avoir lieu. Les premiers espaces répondront aux parties de l'axe des j, sur lesquels les z seront négatifs, et les seconds espaces répondront aux parties du même axe, sur lesquels les z seront positifs.
Les intersections de la courbe, avec l'axe des y, indiqueront les mêmes points que l'équation de l'art. (688), c'est-à-dire ceux où z = o, et qui indiquent les hauteurs auxquelles la pres- sion de l'atmosphère est en équilibre avec la somme des pres- sions intérieures.
Lorsque la courbe ne coupera l'axe des y nulle part, alors z ne changera point tic signe; et si la première aspiration est pos- sible , on n'aura plus à craindre que l'ascension de l'eau soit Dctc. miction arrêtée.
o',lion°" 1 d« ^9 1 ' k* 1 P OTn P e foulante , représentée par la figure 1 46 , peut r«u p«ut «J! aussi être sujette à des arrêts lorsque la soupape dormante I est daUSVpompc placée au-dessus du niveau de 1 eau du réservoir. Supposons ÏTw deLw qu'elle soit en n"e" 7 et que le vuide intérieur compris depuis
