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laa ARCHITECTURE HYDRAULIQUE.

onp*ottou- 294. Concluons généralement que , lorsqu'un corps sera sou- «rdelï'r^ mis à l'action d'un nombre quelconque de moteurs , dont l'ac-

  • 4 |e P M -^on combinée tend à lui donner un mouvement de translation
  • et de rotation , on pourra toujours déterminer deux résistances

Ju'iibre m appliquées à deux points donnés de ce corps, dont l'effort com- ™â°n S u™on ï biné fera équilibre tant au mouvement de translation qu'à celui wr^nombrê de rotation. Il y aura six équations pour satisfaire à cette double d équation* a condition , et les indéterminées qu'elles renferment étant au

d in<Wterroi- .«* c * , • \ 1 t \ •

nies dei pro. nombre de neuî, on en pourra prendre trois à volonté, a moins qu'elles ne soient données d'avance par l'état de la question, c, où im 295. Les moteurs et les résistances étant supposés dirigés TèTuncèll" tous dans I e inême plan, celui des (ac, y), par exemple, les YKn'dilr tr0 * s équations de l'art. (292) se réduisent à l'unique M'/)'-+-C=o, léel'daw'ïê parceque cos.o- = 1, et que r', q\ et leurs analogues, devien- méme pka. nen t ( dans les deux premières équations , ou impossibles , ou multipliés par des facteurs nuls; C exprime dans cette équation la somme des produits des moteurs par la distance de leur di- rection au point de rotation. Les deux équations de l'art. 93 se réduisent (en faisant attention que etc., y redeviennent

égaux à É, C, etc.) à

Mcos.e-f- M'cos.£'-r-a' = o, Msin.£-t-M'sin.C'-+- b'= o.

Dormit... Lorsqu'un levier sera sollicité par un nombre quelconque de tiom arbitrai- moteurs dirigés dans le même plan, l'équation M'o' C = o déterminera la résistance qui doit leur faire équilibre, et on pourra se donner d'avance , ou la quantité M' de cette résistance, ou sa distance p' au point d'appui. Les deux autres équations détermineront la charge du point d'appui : les art. (284 , a85 et 286), sont des corollaires de celui-ci. Méthodepoar 296. On a vu , art. (263), comment on trouvoit la quantité et

trouver la dii- tanca a un aoiiit donna cUns un plan

d* la résultante ,, , . ■ Cl 1*. vil'* i

d-un nombr. r équation p' = w donnera sa distance à 1 origine des x et y,

quelconque de 1 , -i . • »

moteur» agi». q u i es t égaie a la somme des moments des moteurs, divisée par

aant dan. c. ,1 _ , , O . .

la direction de la résultante d'un nombre quelconque de moi- teurs agissant dans le même plan. Soit M' cette résultante ,

la résultante, et déterminera par conséquent la position de cette résultante. On peut la tracer géométriquement , en décrivant

d'un rayon = , et de l'origine des x et y comme centre, un