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lit ; son bras était enveloppé. On le visita, et on s’aperçut qu’il n’avait plus de main droite. Il n’en fallut pas davantage pour confirmer les soupçons. On condamna donc le sorcier à être brûlé vif ; mais pendant qu’on mettait le feu au bûcher, le diable parut auprès de lui, l’emporta à la vue de tout le monde ; et le conte ajoute qu’on ne vit plus de loups-garous dans le village.
TRAITEMENT DU VAMPIRISME.
Lorsque nous étions en quartier d’hiver, chez les Valaques, (dit M. de l’Isle de St.-Michel, dans ses Lettres), deux cavaliers de la compagnie dont j’étais cornette, moururent de vampirisme ; et plusieurs qui en étaient encore attaqués en seraient morts de même, si un sous-officier de notre compagnie n’avait fait cesser la maladie,