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hivernement chez les sauvages

promenait toujours ayant d’un côté la Source et de l’autre Le Carcois. Paul les suivait ou les précédait, plus indifférent aux secrets de l’idiome indien qu’aux mystérieuses beautés de la nature inviolée.

Le Carcois, très attentif, apprenait avec une facilité étonnante ; mais la jeune fille, quoique bien assidue aux leçons, semblait cependant peu s’y intéresser. Ses progrès étaient nuls.


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