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les funérailles

« Oh ! que ma sœur est bonne, dit-il, d’avoir fait revivre pour moi le doux visage ». Et, prenant la main de Philippe : « Ma vie est aux visages pâles ».

Il tint parole, et devint l’un des zélateurs de la cause française parmi les siens. Sa connaissance de notre langue, autant que son désintéressement et sa loyauté, en firent un auxiliaire précieux.