Page:De Merejkowsky - Le Roman de Léonard de Vinci, 1907.djvu/722

Cette page n’a pas encore été corrigée

convaincu qu’il avait expiré en fils fidèle de l’Église catholique.

Écrivant aux frères du maître, à Florence, Francesco disait :

« Je ne puis vous exprimer la douleur que m’a causée la mort de celui qui était pour moi plus qu’un père. Tant que je vivrai, je le pleurerai, parce qu’il m’a aimé de tendre et profond amour. Du reste, tout le monde, je pense, regrettera la perte d’un homme tel que lui, et que la Nature ne saura plus créer. Que le Dieu Tout-Puissant lui donne paix éternelle. »