voluto mancare a nessuna potenzia l’ordine e qualità de suoi necessari effetti. O stupenda necessità ! »
« Oh ! que ta justice est merveilleuse, Premier Moteur ! Tu n’as voulu priver aucune force de son ordre et de ses qualités indispensables. Ô divine nécessité ! »
On frappa violemment à la porte extérieure. Des cris, des jurons, le chant des psaumes retentirent.
Giovanni et Zoroastro coururent s’enquérir de ce qui était arrivé. Mathurine, la cuisinière, réveillée en sursaut, à demi vêtue, se précipita dans la pièce en criant :
— Les brigands ! les brigands ! Au secours ! Sainte Mère de Dieu, protège-nous !
Derrière elle entra Marco d’Oggione, une arquebuse à la main ; il ferma vivement les volets.
— Qu’est-ce, Marco ? demanda Léonard.
— Je ne sais rien. Des vauriens qui veulent pénétrer dans la maison. Les moines ont dû exciter la populace.
— Que veulent-ils ?
— Le diable seul pourrait comprendre cette crapule folle. Ils exigent le clou sacré.
— Je ne l’ai pas. Il est chez l’archevêque Arcimboldo.
— Je le leur ai dit. Ils ne veulent pas écouter. Ils appellent Votre Excellence assassin du duc Jean Galéas, sorcier et impie.
Dans la rue les cris augmentaient.
— Ouvrez ! ouvrez ! Ou bien nous incendierons votre nid maudit ! Attends, nous aurons ta peau, Léonard, antéchrist !