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À Arsène Houssaye


Grâce aux Dalilas,
Nos rimeurs sont las
De gloire,
Et, comme un hochet,
Ont jeté l’archet
D’ivoire !

Au rhythme ailé d’or
Il fallait encor
Un maître
Fou de volupté,
Alors j’ai dompté
Le Mètre !

J’ai repris mon luth,
Et, suivant le but
Féerique,
Je m’en vais cherchant
Le secret du chant
Lyrique.