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sroyoit au vray, de la naissance de ce sublime escrivain ; du merite de ses escrits ; du temps où il a escrit. Mais Socrate ne se fit entendre là-dessus qu' avecque reserve, et sans prendre part aux divers procez qui se sont meûs entre les sçavans du dernier siecle. à quoy bon, dit-il, s' agiter si fort, et combatre avec tant de chaleur,