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IV

Germaine venait d’entrer. Elle avait couru dans le foin déjà haut, dont elle apportait la bonne fragrance. Elle avait gardé de sa promenade comme une fraîcheur neuve qui lui seyait à merveille ; et elle se hâtait, les pommettes colorées, un peu décoiffée, la bouche entrouverte illuminée par des dents riantes, toute fringante et rougissante de voir que des yeux la scrutaient.

Il déplut à Jacques qu’elle eût les cheveux un peu épars sur le cou.

Gervel, lui, souriait avec bonté. Il était