Page:Daveluy - Les holocaustes, 1935.djvu/156

Cette page a été validée par deux contributeurs.

cheminèrent ou firent halte sans que rien d’anormal survînt. Les bois, les rivières ou les lacs s’enveloppaient d’un silence interrompu par leur seul passage. Mais à l’aube du onzième jour un incident assez dramatique accompagna le réveil de Charlot.