M. le chanoine… vous ne m’aviez… pas dit… que cet enfant… était le portrait vivant… de l’autre… mon petit chéri à moi !… Regardez le tableau… à droite,… mon Paul !…
C’est inutile. J’ai constaté, tout à l’heure la ressemblance. Quelle douce consolation Dieu vous envoie dans vos souffrances, Madame Le Jeal !
Qui est… cette personne ?
La protectrice de Charlot, son bon ange, celle qui a eu l’heureuse inspiration de venir ici sans tarder. Nous vous apprendrons peu à peu quelles ont été les épreuves de votre neveu, Madame Le Jeal.
Que tous deux… s’installent… dans ma maison…
Que le petit ne me quitte pas… Ce ne sera pas pour longtemps.
Charlot s’est agenouillé près de sa tante. Il a pris sa main décharnée dans la sienne. Doucement, il la baise et la caresse. Puis, apercevant tout près un siège bas, il s’en empare et très confortablement s’installe aux pieds de l’invalide. Il reprend sa main.
Le prêtre fait un signe, à la bonne hôtesse. Tous deux, sans bruit, quittent la pièce.
Ma bonne dame, vous avez entendu la recommandation de Mme Le Jeal : demeurer ici