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Et, dans un dernier souffle, la petite Algonquine rendit l’âme.
![](http://upload.wikimedia.org/wikisource/fr/b/b4/Daveluy_-_L%E2%80%99esclave_des_Agniers_illustr_p194.png)
Charlot lui ferma les yeux en gémissant et en priant. Puis, se relevant, il regarda autour de lui. Sa pâleur, sa gravité, le déchirement de son regard faisaient mal à voir. Mais le jeune homme voulait s’assurer que tout danger immédiat était fini, qu’il pouvait confier à la