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— Bénissez-moi, Père, supplia soudain Charlot, en mettant un genou en terre. Je suis effrayé souvent, de porter dans mon cœur à la fois tant de haine et d’amour.
— Oui, mon fils, je vous bénis. Ah ! votre fougue naturelle, vos souffrances n’ont donc pas éteint chez vous tout à fait la voix de la conscience. Que Dieu en soit loué !
Marie-Claire Daveluy
(La fin au prochain numéro)