avancé sans être vu ni entendu, avait cassé la
tête à tous, levé leurs chevelures, puis s’en était
retourné tranquillement chez lui avec ces
trophées sanglants. »[1]
- ↑ Authentique. Voir Sulte, Benjamin. Chronique trifluvienne. (Dans La Revue Canadienne, 1877-1878).