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LES NOCES
Ô la pudeur de son œil tendre
S’inclinant toute, devers moi.
Comme une fleur pour mieux répandre
Son parfum brûlant et l’émoi !
Qu’elle nous fut, oh ! nuptiale,
L’heure pudique où, pour toujours,
De notre étreinte initiale
Fleurit mon beau jardin d’amour !