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Scène II
ROSE, FRÉDÉRI.
frédéri, s’arrête en voyant sa mère.
Qu’est-ce que tu fais là ?… Je croyais que tu ne couchais plus ici…
rose, un peu gênée.
Mais si. J’ai encore de l’autre côté quelques vers à soie qui ne sont pas éclos. Il faut que je les surveille… Mais toi ? pourquoi n’es-tu pas resté en bas à chanter avec les autres ?
frédéri.
J’étais trop fatigué.
rose.
Le fait est que tu y allais d’une rage, à cette farandole. Vivette aussi a beaucoup dansé. C’est un oiseau, cette petite ; elle ne touchait pas la terre… As-tu vu, l’ainé des Giraud, comme il lui tournait autour ? Elle est si avenante… Ah ! vous allez faire une jolie paire à vous deux.
frédéri, vivement.
Bonsoir. Je vais me coucher. (Il l’embrasse.)
rose, changeant brusquement de ton.
Et puis, tu sais, si celle-là ne te convient pas, il