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marc, prenant les fagots.
Voilà… voilà… (À L’équipage.) Qu’est-ce que tu as donc, toi, à me regarder ? avec tes gros yeux…
vivette, prenant les sarments.
Merci… Maintenant, il n’y a plus qu’à souffler…
marc.
Je m’en charge.
vivette.
C’est cela ! Pendant ce temps, je vais jusqu’au bateau, retenir ma place…
marc, vivement.
Vous allez revenir, au moins ?
vivette.
Sans doute ! Il faut bien que je dise adieu à ma marraine… (Chargeant son paquet.) Hop !
marc.
Laissez, laissez. L’équipage va vous porter cela. C’est trop lourd… Hé ! matelot… Eh bien !… quoi !… qu’est-ce que tu as ? qu’est-ce qui t’étonne ? Prends ces paquets, on te dit…
vivette.
À tout à l’heure, capitaine… (Elle sort.)
Scène III
LE PATRON MARC, seul.
Si celle-ci s’en va, par exemple, nous sommes bien. Il n’y avait que ça de gai et de vivant dans la