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madame jourdeuil, à sa fille.
Quand je vous le disais, que ce méchant Africain nous jouerait quelque mauvais tour. (Revenant vers son mari.) Mais enfin, qu’est-ce qu’il a donc pu inventer ?
henri, à son père.
Tais-toi. (À sa mère.) Une minute, rien qu’une minute, je t’en prie.
franqueyrol, entraînant la mère.
Oui, oui… Laissez-les. Tout va s’expliquer…
henri, à son père.
Tu m’aimes, n’est-ce pas ?
le père jourdeuil.
Si je t’aime !…
henri.
Alors, plus un mot de tout ceci devant ma mère. Tu entends ! Il faut qu’elle ne sache rien… jamais !…
le père jourdeuil.
Je comprends… Tu as peur qu’elle ne m’estime plus ?
henri.
Non j’aurais peur de la tuer…
madame jourdeuil.
Eh bien ?
le père jourdeuil.
Eh bien ! ma pauvre femme, ce n’est rien du