Tu entends, Mascarat ?
Parfaitement, monsieur. (À part.) Des bagages ! il a des bagages !…
Au fait, tu connais donc Mascarat, toi ! Pourtant, nous ne l’avons que depuis un an…
Dam ! c’est moi qui ai eu l’avantage de recevoir Monsieur.
Tiens ! c’est vrai… je crois même que tu avais fermé toutes les portes de peur qu’il ne s’échappât. Tu as bien fait, Mascarat, tu as très bien fait ; on ne saurait jamais prendre trop de précautions avec ce gaillard-là.
Très bien !… il l’audra que je le surveille, alors !…
Maintenant, cours dire au postillon de faire avancer la chaise de poste. Tu monteras les bagages de M. Dominique dans sa chambre. Car, tu sais, Domé, tu as toujours ta chambre, on n’y a pas touché. Seulement, il y fait bien froid. Veux-tu la mienne ? Oui, c’est cela, la mienne. Après tout, suis-je bête ! prends toute la maison, si tu veux, elle est à toi, parbieu !