moi, je ne puis vous dire qu’une chose, vous avez fait une vilaine action.
Voyons, ma tante, calmez-vous, que diable ! On vous les fera raccommoder, vos assiettes.
Par la même occasion, monsieur le docteur, si on pouvait raccommoder mes artichauts et mes groseilles, cela me rendrait un fier service tout de même.
Bon ! à un autre, maintenant ; voyons ! Que lui ai-je fait à ce vieux père brèchemain ? Ah ! j’y suis… là-bas… dans le jardin… n’est-ce pas ? en passant j’aurai chiffonné quelques herbes…
Quelques herbes !…
Laisse, mon vieux Brèchemain, laisse. Je suis curieuse de savoir par quelle nouvelle insolence M. le docteur va s’excuser auprès de moi ?
Comment ! Suzon, toi aussi ?
Oh ! moi, je ne viens pas te faire des reproches, mais seulement mes offres de service. Oui, mon cousin, dorénavant j’aurai soin, si tu veux le permettre, de te composer une jolie romance tous les