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plorait dans la terreur l’imagination du naïf porte-bannière :

plorait dans la terreur l’imagination dufou d’amour
plorait danslampe à chalumgination du naïf conserves de Chicago
peux pas m’arrachreur l’imagination nihiliste
à mortxxxxxxxxxxxxxxxxxcondition abomxxxxxxxxxxxxxxxx en échange
de sonxxxxxxxxxxxxxxxxxxVous me connaissez, Ferdi
plorait dans la terreur l’imagination dun savez mes idées libérales,
mais de là au tsaricide
plorait dans la terreurterribles conséquences
Sibériexxxxxxxxx penduxxxxxxxxxxxxxxxxxxx l’adore
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxAh !xxxxxxxxxxxxxserrer ta main loya
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxTarxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Tar


VIII


dialogue mémorable entre la jungfrau et tartarin. — un salon nihiliste. — le duel au couteau de chasse. — affreux cauchemar. — « c’est moi que vous cherchez, messieurs ? » — étrange accueil fait par l’hôtelier meyer à la délégation tarasconnaise


Comme tous les hôtels chics d’Interlaken, l’hôtel Jungfrau, tenu par Meyer, est situé sur le Hœheweg, large promenade à la double allée de noyers qui rappelait vaguement à Tartarin son cher Tour de ville, moins le soleil, la poussière et les cigales ; car, depuis une semaine de séjour, la pluie n’avait cessé de tomber.

Il habitait une très belle chambre avec balcon, au premier