Page:Daudet - Souvenirs d’un homme de lettres, 1889.djvu/121

Cette page a été validée par deux contributeurs.

naît les rages, les espoirs fous suivis d’un abattement de brute, l’agonie ivre, le délire, les mains aveugles qui battent l’air, les doigts crispés s’accrochant à l’insaisissable, cette batte d’arlequin, au milieu d’épaves sanglantes, avait quelque chose de burlesque et de terrifiant. On se figurait la