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l’amant.
Chère maîtresse, tournez un peu vos yeux vers moi.
la maîtresse, d’une voix faible.
J’éprouve un bien-être indicible ; — je respire plus librement. — Que c’est doux, la paix du cœur, et qu’il fait bon mourir avec elle !
le prêtre.
Prenez ce crucifix et serrez-le avec ferveur sur vos lèvres !
l’amant.
Maîtresse, réponds-moi ; — je suis à tes côtés et je te parle.
la maîtresse, en extase.
J’entends là-haut des voix qui m’appellent.
l’amant.
Mais non ! chère femme, c’est moi qui t’implore, c’est moi, c’est ton amant.